

Silène
Fry
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Silène a toujours eu un attrait pour l’art en général et les activités manuelles en particulier. Petite déjà, elle fait de la gravure sur bois ou sur verre, s’adonne au chant puis se met à la peinture. Tout au long de sa vie, l’exploration de sa créativité accompagne son parcours pourtant parfois éloigné de ses aspirations artistiques.
Vivant en Suisse depuis l’âge de 11 ans, elle se connecte à la nature environnante. Puis, lorsqu’elle
travaille au sein du service de communication d’une grande maison d’horlogerie, elle ne ferme pas la porte à cette voix artistique.
En 2011, elle part à Shanghai dans une résidence d’artistes financée par le groupe pour lequel elle travaille. Pendant un mois, nourrie, logée et avec un atelier à sa disposition, elle s’adonne à sa passion pour la peinture et exécute des grands formats. Une révélation. S’en suivent quelques expositions en Suisse et en Bourgogne.
Lorsqu’elle bénéficie d’une mobilité en interne pour partir à New York en 2017, l’envie de tester la céramique se fait plus pressante. Galvanisée par les techniques enseignées dans le studio japonais qu’elle fréquente dans Manhattan, Silène laisse petit à petit de la place dans sa riche vie à la céramique et décide de lancer sa marque à son retour à Paris en 2021.
Passionnée par le travail de la texture et l’expression d’un mouvement, Silène est touchée par l’idée qu’elle crée des objets qui vont rentrer dans le quotidien et l’intimité des gens. Ne travaillant qu’à l’instinct, sans carnet de commandes ni idées préconçues, son travail est guidé par ce qu’elle appelle les « accidents
heureux ».


Silène
Fry
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Silène a toujours eu un attrait pour l’art en général et les activités manuelles en particulier. Petite déjà, elle fait de la gravure sur bois ou sur verre, s’adonne au chant puis se met à la peinture. Tout au long de sa vie, l’exploration de sa créativité accompagne son parcours pourtant parfois éloigné de ses aspirations artistiques.
Vivant en Suisse depuis l’âge de 11 ans, elle se connecte à la nature environnante. Puis, lorsqu’elle
travaille au sein du service de communication d’une grande maison d’horlogerie, elle ne ferme pas la porte à cette voix artistique.
En 2011, elle part à Shanghai dans une résidence d’artistes financée par le groupe pour lequel elle travaille. Pendant un mois, nourrie, logée et avec un atelier à sa disposition, elle s’adonne à sa passion pour la peinture et exécute des grands formats. Une révélation. S’en suivent quelques expositions en Suisse et en Bourgogne.
Lorsqu’elle bénéficie d’une mobilité en interne pour partir à New York en 2017, l’envie de tester la céramique se fait plus pressante. Galvanisée par les techniques enseignées dans le studio japonais qu’elle fréquente dans Manhattan, Silène laisse petit à petit de la place dans sa riche vie à la céramique et décide de lancer sa marque à son retour à Paris en 2021.
Passionnée par le travail de la texture et l’expression d’un mouvement, Silène est touchée par l’idée qu’elle crée des objets qui vont rentrer dans le quotidien et l’intimité des gens. Ne travaillant qu’à l’instinct, sans carnet de commandes ni idées préconçues, son travail est guidé par ce qu’elle appelle les « accidents
heureux ».