CAMILLE
LE DRESSAY
En parallèle d’un parcours professionnel varié, Camille Le Dressay a appris en autodidacte la photographie et l’architecture d’intérieur. Deux domaines qui lui permettent d’aiguiser son œil, et d’apprendre l’importance du détail. C’est le travail de la céramiste française Valentine Schlegel qui lui donne envie de se lancer dans la réalisation de sculptures, luminaires et autres objets d’intérieur.
La lumière est le fil conducteur de son travail : fascinée par son instantanéité, Camille Le Dressay cherche à ralentir sa course en lui imposant obstacles et détours, un labyrinthe de possibles. À la manière d’un fleuve impétueux, la lumière doit s’engouffrer, jaillir et rebondir dans l’œuvre, pour enfin, s’en échapper.
Cette recherche sur la lumière, Camille Le Dressay la travaille en s’inspirant de sa passion pour la nature : la majestuosité de l’infiniment grand, la perfection du minuscule, des paysages géologiques millénaires, et des merveilles sous-marines. Cet émerveillement, allié à son goût prononcé pour l’architecture du XXe siècle, l’amène à proposer un univers intimement personnel, tout à la fois construit, structuré, délicat, et très poétique.
CAMILLE
LE DRESSAY
En parallèle d’un parcours professionnel varié, Camille Le Dressay a appris en autodidacte la photographie et l’architecture d’intérieur. Deux domaines qui lui permettent d’aiguiser son œil, et d’apprendre l’importance du détail. C’est le travail de la céramiste française Valentine Schlegel qui lui donne envie de se lancer dans la réalisation de sculptures, luminaires et autres objets d’intérieur.
La lumière est le fil conducteur de son travail : fascinée par son instantanéité, Camille Le Dressay cherche à ralentir sa course en lui imposant obstacles et détours, un labyrinthe de possibles. À la manière d’un fleuve impétueux, la lumière doit s’engouffrer, jaillir et rebondir dans l’œuvre, pour enfin, s’en échapper.
Cette recherche sur la lumière, Camille Le Dressay la travaille en s’inspirant de sa passion pour la nature : la majestuosité de l’infiniment grand, la perfection du minuscule, des paysages géologiques millénaires, et des merveilles sous-marines. Cet émerveillement, allié à son goût prononcé pour l’architecture du XXe siècle, l’amène à proposer un univers intimement personnel, tout à la fois construit, structuré, délicat, et très poétique.
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