
zineb
zirari
Arrière petite-fille d’un orfèvre de renom au Maroc, Zineb Zirari prolonge la quête ancestrale du geste parfait. À 18 ans, elle pose ses valises à Paris pour s’initier à l’histoire de l’art et au droit de la création artistique. C’est la découverte de la céramique japonaise, des années plus tard, qui lui fait sauter le pas. Elle se consacre d’abord intensément à la maîtrise du tour de potier, puis au modelage de l’argile. Ses recherches la conduisent à revisiter la technique élémentaire de façonnage aux fils de terre, idéale quand on souhaite préserver les ressources précieuses que sont l’eau et la matière. De ses expérimentations, il résulte une légèreté et une finesse incomparables qui sont aujourd’hui sa signature.
Qu’il soit exhibé ou effacé par un travail de lissage, le fil de terre sèche à mesure que la matière prend forme. L’objet final est donc tel qu’il a été façonné, sans reprises. Il est le témoignage de l’instant créatif, la mémoire de la main de celle qui le façonne. Sorosoro, qui signifie « pas à pas » en japonais, traduit à la fois ce parcours initiatique et la succession de mouvements qui caractérisent l’artisanat d’art pour Zineb.

zineb
zirari
Arrière petite-fille d’un orfèvre de renom au Maroc, Zineb Zirari prolonge la quête ancestrale du geste parfait. À 18 ans, elle pose ses valises à Paris pour s’initier à l’histoire de l’art et au droit de la création artistique. C’est la découverte de la céramique japonaise, des années plus tard, qui lui fait sauter le pas. Elle se consacre d’abord intensément à la maîtrise du tour de potier, puis au modelage de l’argile. Ses recherches la conduisent à revisiter la technique élémentaire de façonnage aux fils de terre, idéale quand on souhaite préserver les ressources précieuses que sont l’eau et la matière. De ses expérimentations, il résulte une légèreté et une finesse incomparables qui sont aujourd’hui sa signature.
Qu’il soit exhibé ou effacé par un travail de lissage, le fil de terre sèche à mesure que la matière prend forme. L’objet final est donc tel qu’il a été façonné, sans reprises. Il est le témoignage de l’instant créatif, la mémoire de la main de celle qui le façonne. Sorosoro, qui signifie « pas à pas » en japonais, traduit à la fois ce parcours initiatique et la succession de mouvements qui caractérisent l’artisanat d’art pour Zineb.